Sarah Duflon

Une approche humaine et empathique

À propos

Mon parcours

J’ai ouvert mon cabinet à Vevey en octobre 2014.

 

Après avoir obtenu un diplôme en pédagogie curative clinique en 2007 à l’Université de Fribourg, j’ai eu la chance de travailler auprès d’adolescents et de leurs familles, dans les domaines de la maladie psychiatrique, de la consommation de substances psychoactives et des ruptures sociales et scolaires, et ce, jusqu’en 2014.

 

J’ai découvert l’approche Imago en 2008 lors d’un stage de couple avec mon compagnon, et elle m’a immédiatement enthousiasmée. J’ai ressenti un profond soulagement en trouvant un outil me permettant de construire, jour après jour, la relation de couple dont je rêvais.

 

J’ai commencé ma formation de thérapeute relationnelle Imago en 2012 et, depuis ma certification, je continue de me perfectionner grâce à la supervision et aux formations continues.

Je suis maman de deux garçons. Mes proches et mes clients sont mes plus grands enseignants. Ils enrichissent ma pratique à travers tous les défis de la vie et ce qu'ils me confient.

 

J’aime infiniment mon travail et je suis touchée par chaque nouvelle rencontre, par chaque histoire de vie et par le courage des personnes qui viennent me consulter.

Passionnée par la relation, sa complexité, ses défis, sa beauté, j’observe combien elle peut être à la fois une source de souffrance et de bonheur. Chaque jour, je réalise à quel point nous avons tous besoin d’être en lien, d’être aimés et, en même temps, d’être des individus libres, vus tels que nous sommes. J’éprouve toujours la même émotion en voyant la connexion entre deux personnes se révéler.

La qualité d’une relation a un impact bien au-delà des deux personnes concernées. C’est un cadeau que de pouvoir en prendre soin.

Je me sens honorée par la confiance que l’on me témoigne et privilégiée d’accompagner celles et ceux qui s’engagent dans cette aventure passionnante de l’écoute, de l’empathie et de la connexion.

“Depuis toute petite, j’essaie de construire des ponts entre les gens. J’ai toujours fait les “sous-titres” pour éviter les souffrances des malentendus et des interprétations ! J’ai commencé avec mes grands-parents, qui ne savaient ni se parler, ni s’écouter, ni se témoigner l’amour que pourtant moi je voyais bien ! Personne ne leur avait appris”